Comme dernière observation et pour clore, je me permettrai d’ajouter ce qui suit :

. outre le problème des expropriations intervenues de manière non régulière et au profit d’une structure exclue des bénéficiaires d’expropriations,

. la question peut être posée de savoir si la simple mise en avant de l’enseigne d’une chaine hôtelière internationale pour donner plus de poids et de crédibilité à un projet hôtelier envisagé localement, logiquement et pertinemment utilisée par certains acteurs locaux notamment (mais pas exclusivement) en Afrique, dans le cadre de projets d’investissements hôteliers, est un schéma à valider les yeux totalement fermés compte tenu de cette enseigne mise en avant, ou peut-être aussi compte tenu du statut de « membre de la Diaspora » de l’auteur du projet concerné.

L’Etat du Cameroun a très justement interpellé à plusieurs reprises les membres de la Diaspora camerounaise pour investir et participer au développement du Cameroun, mais il se doit de garder les yeux bien ouverts, bon nombre de personnes rejetant de plus en plus  le postulat selon lequel « tout ce qui vient de la Diaspora » (donc « venant de là-bas »), est « automatiquement bon et bénéfique pour le pays », alors que la réalité montre que ce n’est pas systématiquement le cas ...

Il appartient aussi aux membres de la Diaspora de garder l’œil ouvert sur certains de ses membres susceptibles de ternir son image …

Merci, Maître Mandessi Bell.

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